« 1969 » est depuis aujourd’hui disponible en vinyle ! Et pas n’importe quel vinyle… Il s’agit d’une luxueuse édition double 33 tours « wide groove » en pur vinyle incolore, tout cela pour une qualité sonore de très haut de gamme.
Attention, cette édition limitée est tirée à 500 exemplaires pour le monde. Mais pas d’inquiétude, heureux lecteurs, Audiofédération dispose d’un petit stock de 20 doubles albums.
Vous pouvez le commander ICI !
Le pitch :
Le disque perdu du rock progressif ! Imaginez un groupe de rock progressiste qui enregistre à Londres en 1969. Mais, pour tout un tas de raisons, le disque se perd, et on ne le retrouve que 43 ans plus tard. Cette histoire est vraie, et le disque sort juste en édition vinyle…
Le groupe :
Baba Scholae est un groupe de rock progressiste créé en 1967 à Paris par Jean-Yves Labat de Rossi, joueur d’orgue depuis l’enfance. Il enregistre « 1969 » à Londres, avant d’émigrer aux États-Unis et de s’installer à Woodstock. De 1971 à 1975, Albert Grossmann, manager de Bob Dylan et Janis Joplin, lui offre un contrat d’artiste au sein de sa compagnie Bearsville records. Il y signe son premier album solo, « Mister Frog », réalisé avec des musiciens légendaires tels que Rick Danko et Garth Hudson (The Band), John Simon, Todd Rundgren, Paul Butterfield… Il se joint ensuite à Todd Rundgren et devient le « synthé » du groupe Utopia, et s’illustre comme l’un des pionniers de la musique électroacoustique. En 1980 il quitte Woodstock pour New York, où il poursuit une carrière de producteur musical, notamment au travers du label Ad Vitam Records qu’il crée en 2003.
Le son :
Les auditeurs resteront frappés par son étonnante fraîcheur, sa « patate » extraordinaire. Ce disque déjanté nous rappelle les grands opus de Zappa enregistrés à la même époque. Quant à sa qualité sonore, elle est digne des meilleures réalisations, avec un son particulièrement clair, tendu, qui ne brade absolument pas la sensation de matière, bien au contraire. L’étoffe sonore du Baba est structurée, matérialisée, empreinte d’une présence incarnée et d’une gaze soyeuse. Il est étonnant de constater à quel point cette préoccupation du son a toujours été au centre des travaux de Jean-Yves Labat de Rossi.