Audiofédération : ce sont nos clients qui en parlent le mieux !

Actinote, CEC, furutech, van medevoort

Nous venons de recevoir un très émouvant témoignage de l’un de nos clients, Laurent M. de Paris, dont le système a éte profondément optimisé par nos soins.

Il y a trois ans, lorsque j’achète mon premier système « sérieux », je suis totalement néophyte en matière de haute-fidélité. La musique, absente de ma vie depuis cinq ans, me manque terriblement. Depuis 2006, j’ai mis un terme à mes activités de musicien et d’ingénieur du son. J’ai revendu mon matériel de captation (micro, tranches de consoles, matériel de post production…), ne conservant qu’un enregistreur numérique Nagra DII et un casque Grado RS1.

Lorsque je fais l’acquisition de ma chaîne chez un professionnel de la vente de matériel hifi, je sens bien que quelque chose n’est pas optimal, mais je mets cela sur le compte de la nouveauté, et je préfère oublier pour le moment que j’ai des oreilles et des goûts. J’oublie que la musique est l’une des composantes principales de ma vie. J’oublie que j’ai passé plus de 10 ans à enregistrer diverses formations, du piano solo à l’orchestre de jazz, en passant par les trios et autres quatuors. J’oublie… et je signe un chèque de 8000 €. Je rentre chez moi, convaincu d’avoir acheté le système idéal pour ce budget. La descente sera dure !

Comprenons-nous bien : je n’ai rien contre X, ou Y, chez qui j’achèterai quelques mois plus tard un énorme ampli intégré qui ne correspond finalement pas à mes besoins. Après tout, je suis responsable de mes actes et de mes choix. Oui, c’est bien ça, je suis responsable… Seulement voilà, à l’époque, j’ignore que la valeur marchande, les grands noms, les icônes de la Hi-fi, les marques prestigieuses, les châssis massifs, les beaux meubles en verre et en métal, les caractéristiques techniques alléchantes des produits haut de gamme, etc., tout ça ne veut pas dire grand-chose !

Il me faudra deux ans, la patience infinie de ma femme, et la rencontre avec l’équipe d’Audiofédération, pour me faire oublier mes certitudes, ébranler mes convictions, et pour découvrir un monde absolument fascinant ; un monde où la musique est placée au centre du débat, un monde fait d’émotions musicales, de sourires béats à l’écoute d’un disque de Count Basie dont la captation, pourtant datée, révèle le talent des musiciens et nous offre comme par magie une plongée au cœur de l’émotion palpable qui naît de leur rencontre.

C’est ce parcours quasiment initiatique qui m’a appris la valeur du service en matière de haute-fidélité. Car c’est bien d’un apprentissage dont il est question. Apprendre à écouter tout d’abord, à écouter vraiment, sans préjugés. Apprendre à se connaître ensuite, à accepter ses propres goûts en matière de restitution sonore, apprendre à les exprimer avec discernement. Et désapprendre aussi, désapprendre les lois du marketing et du commerce, faites d’affirmations gratuites qu’il m’arrivait de hisser au rang d’axiome : le matériel pesant, c’est forcément sérieux ; un ampli à 10000 €, ça fonctionne avec tout ; le maillon clé d’un système, ce sont les enceintes…

Après la première intervention d’Audiofédération sur mon système, c’est également la première fois que nous entendons, ma femme et moi, quelque chose de différent, quelque chose de palpable, la première fois que nous éprouvons une véritable émotion à l’écoute d’un CD que nous connaissons pourtant par cœur. C’est franchement rassurant ! Je commençais vraiment à me demander si nous étions en présence d’un marché de dupe, ainsi que certains n’hésitent pas à le prétendre dans les forums, avec pour la plupart un objectif commercial à peine déguisé, celui de vous faire acheter tantôt un câble miraculeux, tantôt un meuble ou un dispositif de filtrage du courant. Naturellement, j’avais ressenti de grandes différences à l’écoute de systèmes variés lors des mes pérégrinations chez les vendeurs de hi-fi. Mais cette fois, avec l’intervention d’Audiofédération sur notre système, nous avions accès à une autre dimension : celle de l’émotion et c’est tout autre chose qu’un discours sur les basses ou la dynamique d’une chaîne.

Les gens d’Audiofédération ne sont pas des « vendeurs », pas même d’excellents vendeurs qui connaissent bien leurs produits et comprennent les attentes de leurs clients. Ce sont avant tout des passionnés de musique, sensibles à la qualité du résultat avant toute autre chose. Ils se mettent pour leurs clients en quête du plus haut niveau de restitution possible, prenant en compte la moindre contrainte, à commencer par le budget que le client souhaite consacrer à son système. Enfin, leur expertise est souvent confrontée à une kyrielle d’idées préconçues qu’il leur faut déconstruire avec méticulosité. Et pour ce faire, l’expertise ne suffit pas ; il faut lui adjoindre une patience et une humilité infinies.

L’idée maîtresse d’Audiofédération est simple : considérer chaque client comme un cas particulier, nécessitant une attention exclusive, à la recherche de la meilleure solution, dans son budget, selon ses goûts propres, et proposer à ce client une prestation d’accompagnement de qualité extrême : du vrai sur mesure.

Le système se compose désormais d’un transport CEC TL1N modifié par Van Medevoort, avec liaison QLink vers un convertisseur Van Medevoort DA466, un préampli passif  symétrique Audiofédération (absolument remarquable), un ampli de puissance Van Medevoort PA462, et une paire d’enceintes Leedh E, le tout câblé en Actinote Sonata. Je précise que chaque élément est posé sur un support conçu par Audiofédération et baptisé MagicBoard. La customisation sur mesure du système comprend une barrette secteur Actinote Mezzo et des cordons de la même gamme pour l’alimentation des appareils, et un placement extrêmement rigoureux de chaque élément dans la pièce d’écoute. Même la prise secteur murale a été changée pour un modèle Furutech FT-SWS (R).

Il est très difficile de décrire de manière objective le résultat obtenu. Disons simplement que le système semble repousser les limites inhérentes au format CD 16 bits sur 44,1 kHz. Les traités sur les phénomènes liés à ce format vieillissant sont légion : aliasing, jitter, bruit de quantification, effet de peigne, etc. Pourtant, avec notre système, ces artefacts sont complètement imperceptibles et le format CD affiche une incroyable maturité. Bien entendu, la qualité de l’enregistrement et celle du mastering deviennent déterminantes : en clair, le système ne pardonne rien. Mais en même temps, lorsque la production est de qualité, le système sait en révéler toute la finesse. D’autre part, la stéréophonie et les principes de diffusion propulsive du son (qui sort des enceintes) constituent autant de limitations pour obtenir une restitution naturelle. La magie de notre système est dans ce domaine indicible : nous profitons d’une véritable scène sonore, ouverte, riche, chaleureuse, émouvante. La précision et la rapidité du système sont également à peine croyable. Les instruments acoustiques riches en harmoniques (saxophones, pianos, clarinettes, etc.) sont parfaitement restitués. Le test pour s’en convaincre est simple : il suffit d’écouter un disque au son éthéré et de fermer les yeux. En toute objectivité, si le son d’un saxophone ou celui d’un piano n’est pas convaincant, réellement convaincant, c’est que quelque chose ne fonctionne pas. Dans ce domaine, notre système passe le test haut la main. En parlant de scène sonore, je propose d’illustrer mon propos à l’aide d’un exemple concret. Sur l’album de jazz de Stan Getz et de Bill Evans (Verve Records, Night and Day), on perçoit parfaitement la hauteur physique de chaque élément de la section rythmique : charley, cymbales, caisse claire, etc. Faites l’expérience : si votre système parvient à vous faire percevoir la disposition physique des composants de la section rythmique, la notion de scène sonore ne vous sera pas étrangère. Parlons à présent des graves, qui constituent le fondement de la profondeur du message restitué. Les Leedh E sont parfois critiquées pour leur « faiblesse dans le grave ». L’absence de matériel résonnant (caisse) ne permet certes pas d’obtenir un effet de pression acoustique physique, celle qui fait vibrer le squelette et les os du crâne, transmettant au cerveau un message percutant sous les 150 Hz. Notre écoute dans ce domaine est souvent formatée par nos expériences passées. Pourtant, les performances de notre système sur des albums électro sont stupéfiantes, sans jamais fatiguer l’auditeur.

Puisse Audiofédération poursuivre dans cette voie, guidant ses clients dans les arcanes d’un milieu semé d’embûches et de pièges. Je me félicite pour ma part d’avoir su oublier mes certitudes, d’avoir ouvert mes oreilles et de leur avoir fait confiance.